L’usine trifluvienne de la CIP a cessé définitivement ses activités en 2000. On peut notamment citer la montée de la concurrence étrangère et le manque de renouvellement des équipements de la papetière pour expliquer cette fermeture. Les différents bâtiments du complexe ont été rasés entre 2001 et 2007. Fort heureusement, l’usine de filtration a été épargnée. Ce bâtiment au cachet et à l’emplacement inégalés est maintenant le musée Boréalis.