On produisait deux métaux aux Forges du Saint-Maurice : le fer et la fonte, un alliage de fer et de carbone. C’est ce qu’on obtient, par fusion, à la sortie du haut fourneau.
Le fer des Forges du Saint-Maurice est reconnu pour sa qualité dès 1749 : le naturaliste Pehr Kalm dira que le fer résiste bien à la rouille et que bien que difficile à casser, il reste malléable, ce qui le rend très intéressant – si intéressant qu’il rivalisera sur le marché local.